Lundi 2 mars 1 02 /03 /Mars 09:55

Echange par e-mail les photos de ces 17 épisodes avec le cocu d'une belle femme...
nath.ol82@gmail.com  Confiance, discretion, complicité



Ce soir mardi je suis rentré exceptionnellement. Un petit mot m’attendait :                                                    « Je sors avec Fred, ne m’attends pas pour manger.    …Ne m’attend pas non plus pour baiser, je vais sûrement me faire copieusement défoncer…     Je vais rentrer dormir de bonne heure car je travaille demain. Je prends ton appareil photo. Bise, Je t’aime. »                                               A coté du papier elle m’a laissé le petit string qu’il lui interdit toujours de porter…                         Elle est rentrée vers minuit. Elle est allée direct sous la douche puis elle m’a laissé lécher sa petite chatte pendant 2 mn. Elle était ouverte et toute irritée, comme si ils lui étaient passé dessus à plusieurs… Elle m’a promis de tout me raconter par écrit dès demain. Je m’étais branlé toute la soirée mais je bandais encore. Elle m’a tourné le dos, s’est blottie contre moi et s’est endormie. Le lendemain soir je trouvais ce petit texte que j’ai facilement pu recouper avec les photos trouvées sur mon appareil :                                                                  « Il m’avait demandé de mettre un jean moulant. Je ne comprenais pas pourquoi ? Lui qui aime tant passer ses mains sous ma robe et me trousser à la 1ère occasion. Il a garé sa voiture sur un parking et m’a donné un god plug  qu’il m’a obligé à me planter dans le cul (photo 1). Il m’a fait marcher dans la rue avec cette énorme chose entre les fesses (photo 2)…

« …Nous avons fait plusieurs bars dans lesquels je n’arrivais pas à m’assoire et où il m’a fait beaucoup boire. (photos 2 et 3) Nous avons rencontré 2 copains à lui et il m’a forcer à leur montrer mes seins (photo 4) J’aime lui obéïr, Il arrive à faire de moi tout ce qu’il veut car même quand il se comporte comme le dernier des salauds, je sais que je le fais bander et je ne pense qu’à cette énorme queue qu’il va me mettre dans le ventre.       Enfin, de retour sur le parking il m’a fait enlever mon pantalon (photo 6) , il m’a retiré cet abominable objet de torture et il m’a offert son merveilleux objet de désir, gonflé et dur comme du bois. Je me suis agenouillée pour le pour le prendre en bouche puis il m’a placé les mains sur le capot de sa voiture et baisée comme un Dieu. Tu l’as déjà vu faire… Alors tu n’as qu’à imaginer ce qu’il m’a mis et le plaisir que j’ai pris. A moitié à poil, il m’a traînée au 4 coins du parking et il m’a démontée pendant plus d’une heure avec son énorme bite.  Elle me fait jouir à perdre la tête. Je ferai n’importe quoi pour qu’il me la mette encore... »

 

Le lendemain je me décidais à prendre contact avec Fred et je lui envoyais un texto pour lui demander si il accepterait de me parler un peu de sa relation avec ma femme…

 
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Jeudi 26 février 4 26 /02 /Fév 10:06

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Le mardi suivant je reçois un texto : « J’espère que tu ne rentres pas ce soir, j’ai un copain qui vient à la maison. ».

J’ai essayé de l’appeler… injoignable. Je lui ai laissé des messages mais pour toutes réponse j’ai reçu un texto explicite : « Tu vas encore être cocu et tu n’es pas le bienvenu. Branles-toi, on se voit demain soir. Je t’aime. »

Le lendemain soir, elle était habillée de la même manière que la veille. Tout en me racontant l’histoire, elle a pris les mêmes poses pour que je fasse ces photos et elle m’avait elle-même rédigé le texte ci-joint…

Bonjour chéri,

Tu avais raison, le corps apprend à plier l’échine, perds sa résistance, il se cambre sous la chaleur, s’offre, attend qu’un sexe vienne le plier et le tordre pour en finir avec cette attente.

J’ai donc reçu hier soir à la maison, Adam, mon nouveau petit copain de jeu.

Sur notre terrasse je lui est offert une coupe de ton excellent champagne glacée et quelques poses langoureuses et lascives qui t’étaient réservées il y a encore quelques temps. Il a eu cette idée magique de s’assoire très loin de moi pour que je puisse le regarder d’abords dans les yeux,  et lui indiquer mes choix de s’exécuter.

Il a très vite désiré me lécher avec la langue glacée. J’avais mis mes escarpins rouges que tu aimes tant. Je les avais à moitié ôté de mon pieds et dans un léger balancement je lui faisais entrevoir la naissance du monde cette abîme chaud et humide ou j’allais l’accueillir mais pas encore…

Ma chaussure dans un mouvement a chuté. Il s’est levé pour me la ramasser, le galant homme. Alors pour le remercier de sa prévenance, j’ai écarté davantage mes cuisses, passer ma main sur mon sexe et essuyer avec ma coupe de champagne la moiteur que je sentais descendre le long de mon entrejambe. Il regardait en passant sa langue sur le verre. Il savait que je suffoquais. Nous étions vraiment seul avec le monde de l’humide, de la moiteur et des odeurs de sexes qui se mêlaient au champagne. Je prenais des poses de plus en plus suggestives et osées.

Il s’est enfin approché. Il m’a soulevé légèrement la robe. Il a regardé mon sexe qui battait de désir. M’a rendu ma chaussure et me l’a remise au pieds. Ma chatte lâchait ce délice que tu aimes tant, du sucré salé ? Je ne sais.

La raison me quittait. Il s’est mis a tourner autour de moi me prenant les cheveu. De toutes ses forces, il me plia devant lui au sol, passa sa main et son doigt sur ma chatte pour enlever se qui allait devenir son ivresse. Je n avais qu’un désir, qu’il me lèche jusqu’à ce qu’au bord du délire, il puisse sans aucun égard me transpercer de sa queue divine, dans un élan qui oublierait le temps, avec une force, sa domination de mâle, m’écartera les cuisses sans limite. Oui vraiment ouverte, à la naissance du monde de sa queue.

A quatre pattes sur les coussins du canapé de notre terrasse, il m’a bloqué les hanches. Je ne pouvais plus bouger. J’ai eu un mouvement de repli mais c’était trop tard. Il allait me pénétrer sans la moindre vergogne. Me posséder sans la moindre hésitation.

J’ai senti une immense chaleur qui me gagnait le ventre. Il tirait mes cheveux, s’arcqueboutait, cramponnait ses ongles dans ma chair pour que je ne perde pas un centimètre de ce glaive qui me rentrait dans le corps je ne sais jusqu’où ? Son sexe a longtemps voyagé en moi. J’en avais perdu la notion du temps, de  l’espace. Le monde disparaissait sous ma jouissance. Seul mon sexe avec le sien, ensemble existaient.

Il ne lui a pas fallu longtemps pour gémir encore et encore. Il rentrait sa queue entière dans mon ventre. Il était lui aussi au bord de l’extase mais il attendait… Il attendait que je le supplie d’exploser en moi mais c’était trop tôt, j’en voulais encore.

« Baise moi, baise moi encore plus fort ! » je ne trouvais que cela  à lui dire a lèvres déchirées. La respiration coupée, haletante, en extase devant autant de plaisir j’ai criée, criée. C’était trop de plaisir ; la jouissance me débordait.

Mon sexe avait coulé sur ma cuisse. Il ne laissa rien perdre, il me lâcha les cheveux, sorti son pieux de mon ventre, m’écartela sur le dos et suça ce liquide de femme qu’il semblait préférer a ton champagne mon chéri !

Mon sexe n’était plus le même. Il avait été transformé par la jouissance, les lèvres étaient bombées lisses , liquides prêtes à êtres bu.

Le plaisir montait. Je sentais une sensation que je connaissais. J’allais encore partir pour cet étrange voyage qui dévaste tout sur son passage. L’oubli de la vie, de mon être, l’existence le réel tout allait être dévasté, je le savais. Il allait savoir quelle étrange femme j’étais, de celles qui n’ont pas peur de traverser le miroir.

J’en suis revenu doucement pour ne rien manquer de sa jouissance. Son sexe était de retour dans mon antre. Il me clouait au sol et me pilonnait en force. Je ne décidais plus rien, le geste, la parole, non, il avait tout pouvoir. Son magnifique phallus me ravageait le ventre de nouveau. J’étais à lui. Il était le maître. Je jouissais à hurler. Puis ma voix s’éteint, elle n’avait plus rein à crier. Il avait joui. Le sperme avait brûlé mon intérieur.

Je te confirme mon chéri, Comme je le supposais, il est beaucoup plus à l’aise et performant lorsque tu n’es pas là. Comprends donc que parfois, hélas, nous nous amuserons sans toi. Tu as fait de moi une vraie salope et ta queue ne me suffit plus.

 
Par Elle se tape qui elle veut
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Jeudi 26 février 4 26 /02 /Fév 10:02

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C’est vraiment pas de chance !... Au resto le week-end dernier Nath et Adam ont découvert qu’ils travaillent à 500 mètres l’un de l’autre.

(Il faut savoir que ma petite chérie a 1 h ½  de route pour aller travailler le matin et autant pour rentrer le soir. Alors le jeudi soir, elle dort à St Benoit, chez une collègue de travail. Manque de chance c’est justement à St Benoit que Adam travaille et habite.

Par ailleurs il faut aussi savoir que mon travail me fait parcourir toute l’île et par conséquent je dors moi-même fréquemment à l’autre bout de l’île les mardis soir. Ainsi nous sommes généralement séparés 2 nuits par semaine…)

Donc ça n’a pas tardé ; Dans la semaine après nôtre 1ère soirée avec Adam  je reçois ce texto :

« Tu permets que j’envoie des texto coquins à Nath ? »

Je le trouve très prévenant alors je répond oui, bien entendu.

Dans les jours qui suivirent, Nath me transmet les texto que Adam lui envoie :

« J’ai envie de toi » « On boit un verre à 17 h ? » « les images de ton corps me hantent jour et nuit »

Jeudi soir vers 22 h. elle me transmet ce nouveau texto : « Je suppose que tu es au lit ? Quel dommage que tu ne puisses t’échapper je suis dans 10 mn devant chez toi. » A la suite de ce texto ils se sont longuement appelé et ils ont joué à se caresser au téléphone.

Pour différentes raisons Nath n’a pas pu le voir de la semaine mais vendredi matin je reçois ce texto : « Je vois Adam à midi »

Vendredi 13 heure 30 : « le déjeuné a été torride, il me suit au bureau »

Vendredi 14 heures : « il vient de partir, je suis trempée de désir. Ce soir besoin de ta queue »

Vendredi soir lorsque ma chérie rentre à la maison, elle me laisse prendre 3 photos. Elle enlève sa culotte imprégnée de toute sa mouille de la journée. Elle me la fourre dans la bouche en disant :

« Je ne répondrai à aucune question. Adam va t’envoyer un e-mail pour tout te raconter. Maintenant baises-moi. ». Elle me tourne le dos, s’appuie sur une chaise et s’empale sur ma queue.

Samedi matin je reçois effectivement un e-mail :

Bonjour. Très heureux d'avoir vu Mireille hier midi. Dommage que son bureau ne ferme pas à clé sans cela je me serai régalé à être un peu plus entreprenant..... j'avais très envie de la prendre sur son bureau....une prochaine fois sûrement ????

Dès qu’elle eu fermé la porte, je l’ai prise dans mes bras et on s’est embrassés. Ensuite elle s’est assise sur son fauteuil et me regardait d’un air de salope en croisant très haut ses jambes.  Ta femme sait vraiment bien allumer les hommes ! Je suis passé derrière elle et je lui ai caressé les cheveux… Puis je lui ai attrapé les seins. J’ai continué à la chauffer en lui pétrissant car je sais qu’elle adore ça. Elle avait très peur que quelqu’un entre mais elle était incapable de m’échapper. Je suis passé en face d’elle et me suis accroupi. Je lui ai caressé les pieds, les mollets, je suis remonté jusqu’aux cuisses que je lui ai fait écarter en grand. Elle me regardait avec son air provocateur qui m’excite énormément. J’ai glissé un doigt sous son string. Je la sentais toute humide et prête à jouir. Mais il était déjà 14 heures, elle a  paniqué, n’importe qui pouvait entrer. Elle a refermé brusquement les jambes et m’a gentiment chassé du bureau en me disant à jeudi prochain 

J'espère passer vous voir très bientôt sur St pierre, je vous tiens au courant.        Bises. Adam

- « Jeudi prochain ? »

« Ah oui mon chéri, jeudi prochain il vient me chercher au bureau et on passe la soirée tout les 2. Il connaît une rivière très tranquille où l’on  ira se baigner ensuite j’irai probablement dormir chez lui »

-   - «  Quoi… ? et encore sans moi ? »

« Mon pauvre petit chéri, sors moi vite ta bite et astiques-toi devant moi comme un cocu que tu es…

De toute façon jeudi je dors sur St Benoit alors explique moi ce que ça change pour toi si je dors chez Adam ou chez Christine… ? Christine fait très bien à manger mais Adam a entre les jambes quelque chose de délicieux dont je ne peux plus me passer. Il va la mettre au fond du ventre pendant toute la nuit… Tu peux comprendre que je préfère ?… »

 
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Dimanche 11 janvier 7 11 /01 /Jan 16:27

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"Il devient ingérable. » Me dit-elle.  « Il me fait sans cesse des déclarations d'amour, en larmes. Il veut revenir vivre avec moi… Moi je ne l'aime plus, je préfère ne plus le voir... »

 

Parfois tout de même, j’ai des doutes. Je sais que tous les 2, leur pratique sexuelle préférée est de baiser très rapidement, n’importe où et sans préambules… Parfois le soir je la vois rentrer avec un visage un peu suspect, elle me fuit, file directement dans la salle de bain pour prendre une douche… ?

Je sais aussi que maintenant elle n’a plus aucun scrupule vis à vis de moi. La petite bourgeoise complètement coincée est devenu une salope très gourmande de bites. Maintenant elle sait qu’elle peut tout se permettre et elle sait aussi que sa relation avec son ex m’est difficile à supporter…

Si il continue à la baiser, il est probable qu’ils ne mettent toujours pas de capotes et que le salaud crache régulièrement son sperme dans le ventre ou dans la bouche de ma petite chérie…

 

Pour le reste :

Pascal brille toujours par son absence. Elle l’a soit-disant régulièrement au téléphone mais il est marié et leurs emplois du temps ont du mal à correspondre

Fred et Adam sont parti pour se partager ma femme un week-end sur 2 et moi je ne peus qu’espérer profiter d’elle lorsque ces 2 salauds sont pas disponibles ou bien lorsque Adam et elle accepte que je participe à leur jeu. Mais ça encore c’est parti pour devenir de plus en plus rare !...

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Mercredi 31 décembre 3 31 /12 /Déc 05:49

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Ma petite femme est un peu amoureuse de son nouvel amant Adam. Par ailleurs, et c'est une chance pour moi,  elle a adoré se faire prendre par 2 hommes. C'était pour elle la première fois et depuis lors  elle ne pense qu'à recommencer.

Je suis donc invité à leurs retrouvailles, ce vendredi soir.

Avant de partir, ma petite poupée se prépare et me glisse sur un ton espiègle :

"Je vais mettre une petite culotte comme ça je pourrai lui offrir au restaurant" (photo1) Habituellement j'adore quand elle m'offre sa culotte au resto mais apparemment ce soir, ce ne sera pas pour moi...

Nous avons rendez-vous dans un resto. Au départ nous nous sommes assis tout les 2 en face d'elle et il y a eu des jeux de pied sous la table. J'ai aussi surpris des échanges de regards excités entre eux. Et puis, sans doute pour mettre Adam à l'aise et aussi pour m'humilier, elle à commencé a faire des réflexion du genre :

"Surtout ne sois pas mal à l'aise vis à vis de "mon mari", il adore être cocu, il cherche à l'être le plus possible et de manière la plus humiliante possible."

"Si il te gène je lui demande de partir mais si il reste il ne faut surtout pas que tu te sentes gêné.

(La honte pour moi !)

 Au départ un peu surpris, Adam est finalement rentré dans le jeu. Il a commencé à se désintéresser de moi pour avoir avec Nath des discussions de plus en plus complices. Il a fini par changé de place et est allé s'assoire à coté d'elle. Sa main droite est alors passé sous la table et n'en ressortait que lorsqu'il devait attraper sa fourchette.

Sans même se lever de table, Nath a habilement enlevé son mini string et lui a glissé dans la main en me disant :

"Ce sera plus pratique comme ça..."

J'ai tout de suite senti que les petites caresses érotiques de Adam sur la cuisse de ma femme devenaient beaucoup plus intimes et appuyées. Par moment Nath semblait tout proche de l'orgasme, prête à basculer dans le plaisir. Elle avait beaucoup de mal à garder sa contenance devant les autres clients du resto.

Ni café ni dessert, ils sont rapidement parti en se tenant par la main et en prenant la voiture d'Adam. J'ai payé et je les ai suivi.

Arrivé à la maison je les ai trouvé dans le dressing en train de faire l'inventaire des tenues coquines de ma femme.

Adam a choisi une paire de bottes rouges et une robe à mailles totalement transparente.

Nath est parti se rafraîchir et se changer. Puis lorsqu'elle est revenu c'est Adam qui est parti dans la salle de bain.

Nath a profité de ces quelques instants d'intimité pour m'offrir quelques "photos souvenirs" et pour me provoquer :

"Sors ta bite, mon cocu"

Je me suis exécuté. Je bandais déjà.

"Tu es sûr que tu veux rester avec nous ?"

- " Oh Oui"

j'avais énormément envie de la voir s'offrir et prendre son pied. 

" Je te préviens que si tu nous déranges en quoi que ce soit, je ne me gênerai pas pour te le dire et pour te faire dégager."

-   - "Oui ma chérie, j'ai bien compris"

Dès qu'Adam est revenu, elle lui a fait un petit show sexy. Elle s'est blottie dans ses bras. Ils se sont enlacés, embrassés. Elle l'a entraîné dans une chambre d'ami et s'est allongée sur le lit.

Adam et moi nous sommes rapidement déshabillé devant les yeux approbateurs et gourmands de la petite salope puis nous nous sommes allongés chacun d'un coté d'elle pour la caresser.

Elle a attrapé nos 2 queues en disant :

"2 queues pour moi toute seule, wouaw..."

Sous nos caresses, son souffle est devenu de plus en plus saccadé et bruyant. Elle s'est retournée vers Adam, a pris sa bite dans la bouche et l'a longuement sucé.

"J'ai envie de toi, prends-moi"

Adam s'est levé pour attraper une capote. Elle m'a alors attrapé le visage m’a plaqué la bouche sur sa chatte. J'ai commencé à lécher. La salope dégoulinait de mouille.

Dès qu'Adam a eu enfilé la capote elle m'a repoussé et l'a attiré sur elle.

Elle était sur le dos et écartait largement les cuisses pour bien le recevoir. Elle s'est aussitôt mise à lui crier tout on plaisir.

Je me suis mis à genoux à côté d'elle pour qu'elle attrape ma queue dans sa main gauche. Je la sentais heureuse et comblée.

Elle m'a alors regardé fièrement avec ses yeux provocateurs en me disant :

" C'est bon..."

Puis tout en me regardant plus sévèrement, elle m'a attrapé les couilles et les a serré assez durement. J'ai crié de douleur. Elle m'a relaché pour me planter un doigt dans le cul.

Puis elle s'est totalement désintéressée de moi. Ses cris se sont intensifiés. J'ai deviné un premier orgasme.

Sans ménagement Adam l'a retournée pour la mettre à plat ventre et dans cette position il l'a plantée de nouveau.

Son bassin claquait fort sur la croupe de ma petite femme qui se cambrait au maximum pour recevoir son amant le plus profond possible. Elle mordait l'oreiller.

Ils ont alors basculé sur le coté et il a continué à la pistonner. Elle a posé une main sur les hanches de son amant pour bien mesurer les mouvements de son bassin et la profondeur des va et vients. Elle s'est remise à crier son plaisir. Je lui ai planté ma queue dans la bouche et là je croix qu'elle a eu un 2ème orgasme.

LorsqueAdam s'est retiré j'ai aussitôt pris sa place. Effectivement la chatte de ma petite chérie était très contractée par le plaisir. Elle a continué à jouir avec moi.

Je l'ai baisé un moment puis je me suis retiré, la croyant rassasiée.

Je suis allé chercher 3 coupes de champagne mais lorsque je suis revenu elle était déjà en train de le sucer. Ils avaient décidé de continuer sans moi. Elle m’a dit :

"On a plus besoin de toi, mon chéri, poses tes coupes de champagne et vas te branler ailleurs..." La honte !...

Avant que je ne sorte de la chambre, elle était déjà à 4 pattes (sa position préférée) et le salaud était derrière elle prêt à l'embrocher.

Elle m'a regardé sortir, l'air fière et autoritaire. J'étais dans tous mes états d'excitation.

Il a dû la baiser encore pendant une heure. la faisant crier, hurler de plaisir. Elle devait probablement en rajouter un peu, sachant que j'étais derrière la porte en train de m'astiquer. J'ai attendu.

Lorsqu'il est sorti de la chambre pour aller prendre une douche, je l'ai trouvée dans cet position ; Epuisée.

 
Par Elle se tape qui elle veut
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  • : Nath et son mari cocu
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  • : cocu échange photo Couple
  • : Une belle petite bourgeoise de 48 ans découvre que sa liberté sexuelle et la diversité des amants font de son mari un cocu heureux. Elle en profite tandis que lui recherche la complicité d'un couple idem
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