nathol

Echange par e-mail les photos de ces 20 épisodes avec le cocu d'une belle femme...
nath.ol82@gmail.com  Confiance, discretion, complicité

Valérie est une autre femme adultère dont j’ai rencontré le cocu par annonce. Nous avons sympathisé et les femmes ont décidé de passer une soirée avec chacune 1 de leurs amants. Nath a chosi Adam… Photo 1 elle lui passe un dernier coup de téléphone pour lui parler de Valérie et pour s’assurer que ça ne le dérangeait pas qu’il la voit avec un autre homme… Je l’ai emmenée puis elle m’a chassé en m’insultant devant sa copine « dégage, cocu, va te branler ailleurs. Je me ferai ramener dans la nuit… ». L’autre cocu était enfermé dans une chambre. je suis resté toute la soirée dans la rue pour observer à travers le grillage et la haie d’arbres. Je savais qu’ils resteraient sur la terrasse, devant la piscine. Adam est arrivé le dernier. Il a embrassé ma femme et la tenait par les hanches comme si c’était la sienne. Ils ont mis de la musique, bu un verre puis elles ont changé de partenaire pour danser. Il n’a même pas fallu un slow pour que le salaud (il s’appelait Bertrand) pose les mains sur les fesses de ma femme, relève sa robe, délasse le haut, sorte ses seins... Au bout de 3 minutes elle avait le cul et les seins à l’air. Valérie n’était pas en reste avec Adam mais je m’en désintéressait totalement. Seule ma femme m’excitait. Sur le 2^ème slow, Nathalie avait un doigt dans la chatte et chavirait dans les bras d’un homme qu’elle voyait pour la 1^ère fois. Je n’en revenais pas de son attitude. Au bout de 10 mn elle a défait son pantalon. Le mec s’est allongé par terre, sur les coussins des transat et elle s’est mise à 4 pattes à coté de lui pour le sucer. Puis elle s’est assise sur sa bouche en 69. Elle adore cette position et je l’ai entendu crier son 1^er orgasme. Elle n’avait pas encore retrouvé ses esprits que le salaud l’a retournée sur le dos comme une poupée de chiffon. Elle n’avait pas encore totalement terminé de jouir lorsqu’il la cloué au sol avec son pieux. Elle a hurlé un genre de « HAAANNNNNN »  puis tandis que le mec s’acharnait sur elle, elle marquait chaque coup de boutoir par des cris plus aïgus. Son orgasme semblait se prolonger indéfiniment. Elle écartait de plus en plus les cuisses, jusqu’à les relever complètement à hauteur des épaules du marteau-piqueur qui la pilonnait dans une cadence régulière et brutale et qui ne semblait jamais vouloir s’arrêter. Ma femme s’offrait et jouissait sans aucune retenue et probablement sans aucune pensée pour moi. Elle me le confirma plus tard : « Dans ces moments-là, tu n’existes même pas. J’appartiens totalement à celui qui me donne du plaisir. Je m’offre entièrement et je fais tout ce qu’il veut… » Ensuite le salaud l’a retournée comme un pantin pour la positionner à 4 pattes et il l’a défoncer ainsi comme une brute tandis qu’elle se cambrait et s’arcqueboutait au maximum pour le recevoir profondément au fond de son ventre…