nathol

Echange par e-mail les photos de ces 20 épisodes avec le cocu d'une belle femme...
nath.ol82@gmail.com  Confiance, discretion, complicité


Evidement comme souvent les jeudis, elle est allé coucher chez Adam. Le lendemain je reçois le récit de Adam par e-mail et le récit de Nath sur mon ordinateur. Hélas, pas de photos cette fois-ci…

Récit de Adam : Bonjour Patrick. J'espère que tu vas bien. Je vais te faire un petit récit de la soirée d’hier

Très bonne soirée avec Nathalie, nous étions très excités tous les deux. Je suis passé la chercher à Bras Panon et nous sommes venus chez moi. Une petite coupe de champagne, discussion endiablée sur les relations humaines et la littérature... Nous nous sommes rapprochés puis caressés sur le canapé. Je l'ai ensuite entraîné vers la chambre (la fenêtre était légèrement entrouverte...). Là, elle s'est déshabillée (elle avait une très jolie petite culotte) et nous avons commencé à nous toucher, nous embrasser.... j'ai bien excité son joli clito avec ma langue, elle mouillait terriblement. Je l'ai d'abord prise d'une façon classique, puis retournée sur le ventre, puis une bonne levrette sur le bord du lit, elle adore ça. je lui ai demandé de monter sur moi, elle y est restée longtemps....c'était très bon, je la sentais ruisseler....une fontaine....elle a eu beaucoup de plaisir comme ça. J'ai terminé en la reposant sur le dos. C'était très bon, je pense qu'elle saura te le raconter aussi et j'espère que tu trouveras ça intéressant....          PS : Désolé pour les photos, je t’en promet pour la prochaine fois

A très bientôt. Envoie moi un petit mail pour me raconter ce qu'elle t'a dit… Adam

Récit de Nath :           Jeudi 12 Fevrier 2009-

Apres avoir reçu ce texto tardivement « coucou ravissante Nath alors ce we cyclonique ?J espère que l on se voit tjrs demain ? je t embrasse hâte de te voir et de te toucher. Baisers sur toi très envie de te voir vite à demain…. » Je restais très étonnée de son texto je n avais jamais plus eu de nouvelles  depuis quelques jours. C était clair il voulait tirer un coup mais il mettait les formes j aimais cela. J’y entendais aussi de la culpabilité , Etait-ce pour le cocu qu il culpabilisait ou bien sa pensée de me traiter comme une salope le rendait fragile et ambivalent ? Sans doute un mélange des deux ! Il vint me chercher et avait prévu la soirée chez lui avec du champagne au frais. Le programme etait clair. Il ne manqua pas de me répéter le plaisir qu il avait de me voir, apres s etre assuré que j avais la permission de mon cocu de mari (Il est toujours persuadé que tu as ton mot à dire.) Apres avoir parle littérature longuement (nous aimons en commun Celine et Gide ) un long baiser s en suivi. Un baiser amoureux. Oui c est ainsi qu il pris la precaution de me preparer avant me baiser sauvagement. Il me posa la question sur la présence de ma culotte . Bien sur j en avais mis une sinon ce n était pas drole. Il me confirma qu il aimait me l enlever. Avant cette evenement fatidique , il m entraîna ds sa chambre, la lune ds sa lueur nous éclairait légèrement. Il pouvait me voir et me deviner cela l exitait tant mieux. Il me regarda enlever ma mini robe toucha mon corps par le bout des doigts. Il aimait ma peau il me le redit en guise de preliminaire. Le champagne faisait son effet , la moiteur commençait a nous gagner, l’excitation aussi. Il gemissait de plaisir a l idee que je lui saisisse sa queue ; Je le fis violement, au moment il le souhaitait. Il etait chaud, dur et doux à la fois, sa peau avait une odeur de bois brule qui m excitait, je pensais a mon cocu… il aurait aime voir ça. Moi je commençais a mouiller, il allait bientôt me pénétrer ? j en avais envie, le plus vite possible. IL descendit le long de mes seins qu il pris goulûment ds sa bouche en les mordillant légèrement puis a pleine bouche en entier jusqu’a s’etouffer. Il me parla vulgairement « tu l’as veux ma queue, hein tu l’as veux ? Elle te plait ma queue ? » En guise de réponse je lui mis sa main pres de mon sexe pour qu il sente cette coulée le long de ma jambe Il commenta , « tu es trempée c est délicieux » , il m attrapa violemment pour me sucer et absorber tout ce qui montrait mon appétence, mon envie qu il coulisse en moi, dans ce passage de désir ou je l’attendais. Il ne resta pas longtemps la tête entre mes cuisses. Il désirait se loger ds mon antre ds la chaleur de mon désir. Ses phrases étaient de plus en plus érotique «  tu vas l aimer ma queue. Tu vas te faire baiser  Je vais te baiser et je ne vais pas te faire de cadeau ». En me retournant il me mis une tape sur le fesse en guise de possession. Je lui appartenait effectivement. Tu n’existais même plus du tout ! Je devinais son corps mais, je voyais peu les détails de son élégance virile… dommage ! Je découvris sa position préfèrée… Apres m avoir baisée rapidement  en se couchant sur moi il me pria de me mettre sur lui pour que j honore sa queue et qu’il m’embroche par mon sexe degoulinant. Je découvris son désir d etre dominer. il voulait se faire baiser en fait . C etait grandiose je pu exercer mes talents de dompteuses de male. Je lui tenais les manis en arriere de son visage tres fermement ne lui laissant aucun choix que de m’offrir sa queue. Il etait en extase et apres quelques mouivement tres harmonieux quelques coups de reins bien a propos , violents et saccadés comme je le souhaitais, j eu une jouissance sorti de l au dela de mes entrailles. Il etait aussi à son comble de plaisir il allait jouir vite je le savais. Ses mains etaient prisonnieres. Son corps tout entier etait a ma merci, son souffle sur moi, qd je me penchais, n etait plus qu un  rale de plaisir. Ses mouvements devenaient intenses sa queue etait grosse et dure. Son corps etait tout entier qu un immense fremisement. L’intensite et le mouvement devenait jouissance on etait au bord d un monde ss borne je lachais ses mains qui prirent mes seins avec violence et se fut trop… Dans un cri,  il lacha son dard, son essence ,je l avais autoriser il l avait senti il s’était executé, il avait joui. Apres une douche rapide, de tendres baisers,  nous nous sommes endormi dans les bras l’un de l’autre car demain école… »