nathol

Echange par e-mail les photos de ces 16 épisodes avec le cocu d'une belle femme...
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Le mardi suivant je reçois un texto : « J’espère que tu ne rentres pas ce soir, j’ai un copain qui vient à la maison. ».

J’ai essayé de l’appeler… injoignable. Je lui ai laissé des messages mais pour toutes réponse j’ai reçu un texto explicite : « Tu vas encore être cocu et tu n’es pas le bienvenu. Branles-toi, on se voit demain soir. Je t’aime. »

Le lendemain soir, elle était habillée de la même manière que la veille. Tout en me racontant l’histoire, elle a pris les mêmes poses pour que je fasse ces photos et elle m’avait elle-même rédigé le texte ci-joint…

Bonjour chéri,

Tu avais raison, le corps apprend à plier l’échine, perds sa résistance, il se cambre sous la chaleur, s’offre, attend qu’un sexe vienne le plier et le tordre pour en finir avec cette attente.

J’ai donc reçu hier soir à la maison, Adam, mon nouveau petit copain de jeu.

Sur notre terrasse je lui est offert une coupe de ton excellent champagne glacée et quelques poses langoureuses et lascives qui t’étaient réservées il y a encore quelques temps. Il a eu cette idée magique de s’assoire très loin de moi pour que je puisse le regarder d’abords dans les yeux,  et lui indiquer mes choix de s’exécuter.

Il a très vite désiré me lécher avec la langue glacée. J’avais mis mes escarpins rouges que tu aimes tant. Je les avais à moitié ôté de mon pieds et dans un léger balancement je lui faisais entrevoir la naissance du monde cette abîme chaud et humide ou j’allais l’accueillir mais pas encore…

Ma chaussure dans un mouvement a chuté. Il s’est levé pour me la ramasser, le galant homme. Alors pour le remercier de sa prévenance, j’ai écarté davantage mes cuisses, passer ma main sur mon sexe et essuyer avec ma coupe de champagne la moiteur que je sentais descendre le long de mon entrejambe. Il regardait en passant sa langue sur le verre. Il savait que je suffoquais. Nous étions vraiment seul avec le monde de l’humide, de la moiteur et des odeurs de sexes qui se mêlaient au champagne. Je prenais des poses de plus en plus suggestives et osées.

Il s’est enfin approché. Il m’a soulevé légèrement la robe. Il a regardé mon sexe qui battait de désir. M’a rendu ma chaussure et me l’a remise au pieds. Ma chatte lâchait ce délice que tu aimes tant, du sucré salé ? Je ne sais.

La raison me quittait. Il s’est mis a tourner autour de moi me prenant les cheveu. De toutes ses forces, il me plia devant lui au sol, passa sa main et son doigt sur ma chatte pour enlever se qui allait devenir son ivresse. Je n avais qu’un désir, qu’il me lèche jusqu’à ce qu’au bord du délire, il puisse sans aucun égard me transpercer de sa queue divine, dans un élan qui oublierait le temps, avec une force, sa domination de mâle, m’écartera les cuisses sans limite. Oui vraiment ouverte, à la naissance du monde de sa queue.

A quatre pattes sur les coussins du canapé de notre terrasse, il m’a bloqué les hanches. Je ne pouvais plus bouger. J’ai eu un mouvement de repli mais c’était trop tard. Il allait me pénétrer sans la moindre vergogne. Me posséder sans la moindre hésitation.

J’ai senti une immense chaleur qui me gagnait le ventre. Il tirait mes cheveux, s’arcqueboutait, cramponnait ses ongles dans ma chair pour que je ne perde pas un centimètre de ce glaive qui me rentrait dans le corps je ne sais jusqu’où ? Son sexe a longtemps voyagé en moi. J’en avais perdu la notion du temps, de  l’espace. Le monde disparaissait sous ma jouissance. Seul mon sexe avec le sien, ensemble existaient.

Il ne lui a pas fallu longtemps pour gémir encore et encore. Il rentrait sa queue entière dans mon ventre. Il était lui aussi au bord de l’extase mais il attendait… Il attendait que je le supplie d’exploser en moi mais c’était trop tôt, j’en voulais encore.

« Baise moi, baise moi encore plus fort ! » je ne trouvais que cela  à lui dire a lèvres déchirées. La respiration coupée, haletante, en extase devant autant de plaisir j’ai criée, criée. C’était trop de plaisir ; la jouissance me débordait.

Mon sexe avait coulé sur ma cuisse. Il ne laissa rien perdre, il me lâcha les cheveux, sorti son pieux de mon ventre, m’écartela sur le dos et suça ce liquide de femme qu’il semblait préférer a ton champagne mon chéri !

Mon sexe n’était plus le même. Il avait été transformé par la jouissance, les lèvres étaient bombées lisses , liquides prêtes à êtres bu.

Le plaisir montait. Je sentais une sensation que je connaissais. J’allais encore partir pour cet étrange voyage qui dévaste tout sur son passage. L’oubli de la vie, de mon être, l’existence le réel tout allait être dévasté, je le savais. Il allait savoir quelle étrange femme j’étais, de celles qui n’ont pas peur de traverser le miroir.

J’en suis revenu doucement pour ne rien manquer de sa jouissance. Son sexe était de retour dans mon antre. Il me clouait au sol et me pilonnait en force. Je ne décidais plus rien, le geste, la parole, non, il avait tout pouvoir. Son magnifique phallus me ravageait le ventre de nouveau. J’étais à lui. Il était le maître. Je jouissais à hurler. Puis ma voix s’éteint, elle n’avait plus rein à crier. Il avait joui. Le sperme avait brûlé mon intérieur.

Je te confirme mon chéri, Comme je le supposais, il est beaucoup plus à l’aise et performant lorsque tu n’es pas là. Comprends donc que parfois, hélas, nous nous amuserons sans toi. Tu as fait de moi une vraie salope et ta queue ne me suffit plus.