nathol

Echange par e-mail les photos de ces 17 épisodes avec le cocu d'une belle femme...
nath.ol82@gmail.com         Confiance, discretion, complicité


Lorsque j’ai envoyé un texto à Fred pour lui demander si il accepterait de me parler un peu de sa relation avec ma femme, il m’a simplement téléphoné et expliqué qu’il recherchait depuis des années une femme mariée, bourgeoise et un peu coincée pour en faire une  salope. « Il n’espérait pas le consentement du mari, et cela lui rend la chose beaucoup plus simple. » « Ta femme a beaucoup trop peur de se dévaloriser à tes yeux et pourtant elle crève d’envie de se comporter comme une putain… Avec elle je vais réaliser tous mes fantasmes et plus je vais la dévergonder plus elle va jouir et plus tu vas être cocu. Mais pour l’heure ton appel tombe bien car j’ai justement quelque chose à lui demander. Dis-lui de m’attendre ce soir chez vous vers 19 h. en porte-jaretelle et talons hauts… »

Lorsque j’ai dis à ma petite femme que son amant Fred allait passer la voir. Ca l’a toute excitée. Elle est allé se pomponner dans la salle de bain et m’a demandé de préparer ses dessous. Puis nous avons fait quelques photos en attendant Fred. Elle m’a demandé de lécher son cul puis m’a permis de la pénétrer un peu pour « préparer sa chatte à la grosse bite de Fred ». Elle était en train de me montrer son doigt (photo 5) lorsque nous avons entendu la voiture dans la cour…

… Elle s’est précipitée pour ouvrir la porte et sans même lui dire bonjour, elle s’est agenouillée devant lui pour lui sortir sa bite et le sucer. J’étais abasourdi par cette marque de soumission. Nous avons pris l’apéritif très brièvement tandis qu’il pelotait ma femme sans aucune retenue puis ils sont montés dans notre chambre (qui est devient la leur lorsqu’ils sont à la maison). « Je vais me faire défoncer » me dit-elle avant de monter les escaliers. A peine quelques secondes plus tard elle gueulait déjà son plaisir. Je l’imaginais à 4 pattes en train de se faire remplir par cet énorme chibre. Il la es fessait violement (chose qu’elle ne m’autorisait pas il y a encore quelques mois.) Puis je l’entendis répéter toutes les insanités qu’il exige d’elle : « Oui je suis ta pute… Défonce-moi comme une grosse chienne… Je ferai tout ce que tu voudras… ».

Puis les cris ont cessé avant qu’elle ne jouisse. Ils ont discuté un moment et alors que je croyais qu’il passerait la nuit entre les cuisses de ma femme, il est parti en la laissant sur sa faim.   Nath était furieuse. Elle m’expliqua succinctement que les 2 copains de Fred à qui elle a montré ses seins, veulent en voir  plus. Elle est conviée dès que possible à une petite sortie exhib. Et pas question de se défiler si elle veut revoir son amant préféré.